samedi 19 mars 2011

Tourisme technologique

Voilà une des appellations récemment entendue à propos du geocaching.
C'est vrai que, voyageant beaucoup, le jeu me permet de découvrir des endroits insolites tout en cherchant les boîboîtes.
Ce qui est rigolo, c'est que la difficulté des caches n'y est pas identique. Je veux dire pour un niveau annoncé équivalent.
Aux Etats Unis, par exemple, je trouve les caches avec plus de difficultés. Il est vrai qu'ils ont plus de recul que nous, le jeu venant de chez eux.




Nano cache d'Atlanta



En Afrique, il y a moins de caches. Elles ne posent pas forcement de problèmes si ce n'est qu'étant peu nombreuses, si elle sont prises, il n'y a plus rien!

Je reviens de Bangkok et là, surprise, 236 caches rien que dans cette ville! Principalement cachées par une seule personne. Sur 18 caches trouvées, 16 avaient été cachées par la même personne. Se laisser aller de cache en cache, un super moyen de visiter la ville...

Là où j'ai le plus de difficultés, c'est à New York, je trouve les caches particulièrement difficiles à trouver. La prochaine fois, je tenterai la Wherigo de Central Park. Je verrai à faire un post à ce sujet ultérieurement.

Bon geocaching!




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